La lutte contre l’islamophobie aux USA a trouvé son prodigieux remède : le chewing-gum “Islamophobin” !
ISLAMOPHOBIN®
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Übersetzt von Oumma.com |
court, elle court et se propage dans les vastes étendues du territoire
US, sous l’effet toxique du populiste Donald Trump qui infecte le
débat public de son venin, l’islamophobie est-elle un mal incurable de
nos sociétés occidentales et comment traiter le mal à la racine, dès
l’apparition des premiers symptômes ?
C’est sous cet angle médical plein d’humour que le très actif Conseil
des relations américano-islamiques (CAIR), connu pour être sur tous
les fronts, a choisi d’aborder ce fléau du racisme, contrastant
joyeusement avec le ton alarmiste employé habituellement pour dénoncer
son hémorragie inquiétante, afin de préconiser un antidote prodigieux,
si typiquement US-américain : un chewing-gum “Islamophobin” dont les étonnantes vertus curatives agissent dès qu’on le mâchouille…[en vente sur Amazon]
Erigée en cause de santé publique dans un clip publicitaire (voir
ci-dessous) qui a pris le parti d’en rire, la lutte contre
l’islamophobie, vue par ses thérapeutes du CAIR, conseille fortement et
prescrit à toutes celles et ceux qui en sont atteints de manière
chronique – à ces citoyens ordinaires, soumis à fortes pressions, qui
voient le fanatisme partout et derrière chaque musulman – d’en « prendre deux le matin et d’appeler un musulman » dans la foulée.
Finie la peur irrationnelle des musulmans, qu’ils soient de proches
voisins, des collègues ou encore des passagers voyageant à bord d’avions
de lignes intérieures, disparue l’intolérance qui éloigne les uns des
autres et avive la haine de l’altérité ! “Islamophobin” vient à bout de
ce racisme avec une rare efficacité, jusqu’à produire des effets
secondaires quasi miraculeux : des élans de tendresse, de fraternité,
l’acceptation de la différence, bref répand beaucoup d’amour autour de
lui, à chacune de ses prises.
« Nous pensons qu’un peu d’ humour peut faire sens et beaucoup
de bien » , a écrit le CAIR en diffusant sur sa page Facebook et
Youtube sa parodie, drôlement caustique, sur un ressentiment
anti-musulmans d’autant plus contagieux que la désinformation qui
l’attise n’est pas prête d’être jugulée. En tout cas, sa thérapie par
le rire fonctionne à merveille, si l’on en juge par le nombre de
« like » recueilli en l’espace de quelques semaines, et devrait être
urgemment remboursée par le régime US de sécurité sociale…