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Équateur, Argentine : le FMI met le feu aux poudres

Jérôme Duval 23/10/2019
L’organisation internationale poursuit son travail de gendarme économique, quel qu’en soit le prix à payer par les populations concernées, afin qu’aucun de ses 189 États membres ne s’écarte du chemin néolibéral qui leur est tracé.

Les « révoltes FMI », conséquences de mesures antisociales imposées par l’institution basée à Washington en contrepartie de prêts à rembourser avec intérêts, n’ont pas disparu. L’organisation internationale poursuit son travail de gendarme économique, quel qu’en soit le prix à payer par les populations concernées, afin qu’aucun de ses 189 États membres ne s’écarte du chemin néolibéral qui leur est tracé.
L’Équateur et l’Argentine où ont émergé les slogans « que se vayan todos », (qu’ils s’en aillent tous) à l’égard de la classe politique sur fond d’accords avec le FMI, en illustrent l’actualité.